En 2005, le Mouvement créa a la surprise en s’imposant comme un parti incontournable du canton de Genève. En 2009, ce fut un raz-de-marée qui impressionna jusqu’aux journaux et télévisions parisiennes et aux médias internationaux. Le MCG devenait le deuxième parti (ex-æquo avec les Verts et devant les socialistes) du Parlement cantonal genevois avec 17 députés sur 100. Que s’était-il passé ?

Les simples citoyens se réveillaient face à un pouvoir qui a tendance à s’écarter d’eux. Indépendant, opposé aux lobbys, le MCG défend la cause des citoyens et les couleurs du canton de Genève.

Le Mouvement s’est imposé dans son combat pour défendre et protéger les habitants de la Cité, menacés par une mondialisation sur la place économique locale et sur un marché de l’emploi malmené par la sur-concurrence euro-frontalière.

Le chômage s’est développé frappant de nombreux travailleurs, en particulier les plus jeunes, mais également des plus âgés, ou ceux qui sont issus de communautés étrangères, au même titre que les Suisses de longue date.

Ensuite, une évidence s’est imposée : la différence entre la gauche et la droite n’est qu’une pure illusion depuis la chute du mur de Berlin et la fin du combat de la Russie communiste contre les Etats-Unis capitalistes. La grande différence aujourd’hui se trouve ailleurs, au point de remplacer la confortable et trompeuse dualité gauche-droite. La nouvelle fracture se trouve là : défendre les citoyens d’un territoire ou une mondialisation débridée.

Le MCG a choisi son camp : défendre les citoyens et les résidents genevois. Pour cette raison, le Mouvement Citoyens Genevois est devenu la force incontournable de l’échiquier politique genevois.